En Croco

…une vedette au sommet ! C’est tellement de bonheur de voir Jean-François Porry se remettre au cinéma. Super ! Il nous manquait tellement. Bouhouhou… C’était presque aussi fort que la fois où Cricri et Johanna se sont remis ensemble à la salle de répét’, extra ! Ou quand est sortie l’édition collector de « Un indien dans la ville ». Wahou !

On ne veut pas vous dévoiler la fin mais c’est tellement beau : il y a une histoire d’amour avec un animal ! Yougi !

Ok Podium, n°16, octobre 2009

(musique : Reptilia de The Strokes – Tous droits réservés)
(vidéo : tous droits réservés)

Majorette en ville

…une jambe dans la bouche. George Romero revendique pleinement l’appartenance de ce clip à la saga des Morts-vivants. En effet, même si le format change, l’esprit est là.

Du haut de ces 69 ans, le maître envoie toujours la purée, teintée de Rock et d’hémoglobine. Des crânes de zombies défoncés à la guitare électrique, c’est « Majorette en ville » !

L’Écran Fantastique, n°647, septembre 2009

(musique : Suffragette City de David Bowie – Tous droits réservés)
(vidéo : tous droits réservés)

Wattstock 2009 – face B, c’était énorme

Rappelez-vous : suite aux multiples rebondissements avec leur boite de prod et autres coups foireux, Wattstock 2009, on n’y croyait pas. Délocalisation aux States, révélations sur Vanderhoff prod qui nous sortait du chapeau remix et compils de plus en plus horribles, Super5 qui restaient muets comme des câpres. Ça daubait.

Et puis nous avons reçu le mail de Super5 : une photo de leur destrier avec, au dos, un « Wattstock is fine » qui réaccordait les guitares bien comme il faut. Il n’en fallait pas plus pour faire de nous des engins de siège, prêts à tout pour Wattstock !

# Jour J-2 : la boite mail du Rock Avant Tout reçoit par la puissance divine une vidéo mystère d’interview des Hydroponiks parlant du groupe de Légende. La preuve de l’existence du docu sur Wattstock 2007 ?

# Jour J-1 : la folie. Les médias sont en furie à propos du Wattstock au Texas, le JT de TF1 est présenté en direct d’Austin où les files d’attente atteignent déjà 16 kms. Pendant ce temps, les fans jubilent de leur petit secret. ^^

# Wour W : the W-Way !
17h00 : plus qu’une demie heure avant le coup de feu. Comme chaque année, de nouvelles baskets viennent fouler le sol divin choisi par Super5. Et il y a évidement les habitués, ceux qui n’ont manqué aucun rendez-vous avec la Légende. Tous ont les yeux brillants, certains des pancartes à la main, d’autres sont maquillés de haut en bas aux couleurs de l’étoile à 5 cordes. On échange ses expériences, son vécu avec les Rockstars : « il m’a fait un clin d’œil » raconte Anaelle, « il m’a touché la main » poursuit Marie, « ils m’ont pété l’pot » avoue fébrilement M. McManus, se rappelant l’explosion de ses géraniums l’an dernier à Thuir-la-Rock.

Le temps est suspendu. Une heure semble être une année. À vue de nez, on doit être le 25 avril. La cocotte minute est à bloc. Certains ne tiennent plus et sautent désespérément dans la piscine pour baisser la température. Super5 va bientôt lever le voile sur « Galette », le projet secret en incubation depuis plus d’un an. Heureusement, un trou où passer la tête soulage notre attente (1).

18h00 : le démarrage était annoncé à 17h30 mais comme tout bon groupe de Rock, Super5 sait se faire attendre. En coulisses, les deux puros du staff-technique nous annoncent du lourd.

18h30 : Thor vient-il de frapper sur le tom basse ? Non, c’est le V1 de la Super5 1989 qui hurle. Les portes s’ouvrent sur ce monolithe à la mécanique parfaite, orné des six lettres de Légende : S-U-P-E-R-5 ! Les Rockstars s’en extraient, brandissant le drapeau de Wattstock, celui du nouveau monde, celui de la Liberté.

(la suite ici)

(1) Véridique.

1er décollage

Avec « 1er décollage », Marc Dorcel se remet en question. Il rompt avec le style cru de ses précédents boulards et se découvre poète. L’amour est simplement évoqué, sublimé.

Un film qui doit beaucoup aux deux comédiens desquels transpire une passion brûlante et suave.

Télérama, n°5478, semaine du 23 septembre 2009

(musique : Learn to Fly de Foo Fighters – Tous droits réservés)
(vidéo : tous droits réservés)

À l’époque ça belekait

Ce qu’on retient avant tout de « À l’époque ça belekait », c’est un parti pris artistique ambitieux : filmer sans éclairage artificiel, au format 8mm, dans une grotte mexicaine. Michel Gondry ne cache pas sa filiation au cinéma de Warhol ou – caméra numérique en moins – au « INLAND EMPIRE » de David Lynch.

Au delà, le film transcende ces choix formels pour donner toute sa puissance à la musique de Super5.

Positif, n°514, septembre 2009

(musique : When you were young de The Killers – Tous droits réservés)
(vidéo : tous droits réservés)